Historische Spezial­wissenschaften stellen sich vor

 

Ort: Historisches Museum Olten – Konradstrasse 7 – 4600 Olten

Samstag, 28. Juni 2014

Begrüssung (Markus Reto Hefti von Seiten der Vernstalter; Peter Kaiser vom Historischen Museum Olten)

Hortensia von Roten / Christian Weiss (Numismatik): Münzkunde / Münzfunde

Florian Domenjoz (Philatelie): Le timbre-poste, la plus petite œuvre d’art du monde

Paul Michel (Symbolforschung): Bär, Fisch, Biber, Sphinx, Falke

Mittagspause, Info- & Ausstellungsstände

Trudi Kohler (Genealogie): Back to the Roots

Thomas Bitterli (Burgenkunde): Die Burg als Forschungsobjekt zahlreicher Fachbereiche

Pause, Tee- & Kaffeebuffet, Info- & Ausstellungsstände

Rolf Kälin (Heraldik): Was führen Sie im Schilde?

Emil Dreyer (Vexillologie): Was ist Vexillologie?

(Die Kalligraphie ist mit einem eigenen Stand durch Kurt Hoffmann vertreten.)

Sonntag, 29. Juni 2014

Publikum ist ins Museum Olten eingeladen.

Die Veranstalter freuen sich auf Gespräche zwischen Interessenten und Experten.

 

Exposés der Vorträge

Numismatik / MünzkundeSchweizerische Numismatische Gesellschaft (SNG)

Als Numismatik (Griechisch nomisma = Münze) wird das systematische Sammeln und die  wissenschaftliche Beschäftigung mit Münzen und deren Geschichte bezeichnet. Neben Münzen sind auch andere Formen des Geldes, wie z.B. Papiergeld sowie münzähnliche Objekte wie Medaillen und Jetons  Gegenstand der numismatischen Forschung.

Numismatik bestimmt und beschreibt die Münzen in ihrem historischen Kontext. Münzen sind wichtige historische Quellen vor allem der Geld- und Wirtschaftsgeschichte. Sie dokumentieren politische Geschehnisse und sind nicht zuletzt Dokumente der Kunst- und Kulturgeschichte. Sie sind ebenfalls beredte Zeugen der Technik. Im archäologischen Kontext bieten sie Erkenntnisse in Bezug auf Nutzung und Datierung der Fundorte.

Das Sammeln von Münzen als Kunstwerke ist zwar schon in der Antike belegt, aber die wissenschaftliche Beschäftigung mit ihnen setzt erst in der italienischen Renaissance ein. Angeregt durch römische Kaisermünzen, die überall in Italien zu finden waren, sammelten Fürsten, reiche Bürger und Gelehrte. Grosse Münzsammlungen wurden zusammengetragen und als historische Quellen für Geldgeschichte oder aber als ikonografische Zeugnisse ihrer Zeit, insbesondere der römischen Kaiser, publiziert. Im 19. Jh. wurde das Sammeln von Münzen im Bildungsbürgertum beliebt. Numismatische Gesellschaften wurden gegründet - so 1879 die Schweizerische Numismatische Gesellschaft (SNG) - mit dem Ziel, den Austausch unter Numismatikern und die Numismatik durch Veröffentlichung von numismatischen Studien in Fachzeitschriften zu fördern. Als Numismatiker gelten sowohl Forscher, die sich mit Münzen wissenschaftlich beschäftigen, als auch Münzsammler und Münzhändler.

Ein wichtiger Bereich der Numismatik ist die Analyse von Münzfunden, und zwar sowohl von Einzel- wie auch von Schatzfunden, die bei archäologischen Ausgrabungen wichtige Datierungshilfe leisten. Sie sind ebenfalls eine Quelle bei der Erforschung  des Geldumlaufs.

Numismatique

On désigne sous le terme numismatique (du grec nomisma = pièce de monnaie) une collection monétaire ainsi que l'étude scientifique de la monnaie et de son histoire. Cette discipline s’attache principalement à l’analyse de la monnaie elle-même, mais également à l'argent sous d'autres formes, par exemple le papier-monnaie et les objets apparentés comme les médailles et les jetons.

La numismatique vise non seulement à décrire et à déterminer les pièces, mais aussi à les replacer dans leur contexte historique. Importantes sources documentaires aussi bien pour l'histoire politique, économique et monétaire que pour celle de l’art et de la culture, les monnaies, témoignent également des compétences artistiques et techniques à une époque donnée. En contexte archéologique, les monnaies fournissent des renseignements sur l’occupation et la datation des sites.

Collectionner des monnaies en tant qu’objets d’art existait déjà dans l’Antiquité, mais leur étude scientifique ne commence qu’avec la Renaissance italienne. Encouragés par la découverte, dans toute l’Italie, de nombreuses monnaies impériales romaines, princes, riches bourgeois et savants se mettent à les collectionner. D’importantes collections sont ainsi constituées, puis publiées en tant que sources concernant l'histoire monétaire, ou comme témoins iconographiques de certaines époques, en particulier celle de l'empire romain. Au 19e siècle, collectionner des monnaies devient également l’apanage de la bourgeoisie cultivée. Des Sociétés de numismatique sont créées – notamment, en 1879, la Société suisse de numismatique (SSN) – avec pour but d’encourager les échanges entre numismates et de promouvoir cette discipline par la publication d'études dans des revues spécialisées. Le terme de numismate s'applique aussi bien aux chercheurs travaillant scientifiquement avec les monnaies qu’aux collectionneurs et aux marchands.

L’un des aspects importants de la numismatique est l’analyse des trouvailles monétaires, isolées ou issues de trésors, marqueurs chronologiques essentiels durant les fouilles archéologiques qui constituent de plus une source pour l’étude de la circulation monétaire.

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PhilatelieVerband der Schweizerischen Philatelistenvereine (SBHV)

Le timbre-poste, la plus petite œuvre d’art du monde

Le timbre-poste est petit, en revanche sa force d’expression et son importance sont aussi grandes que multiples. Le timbre-poste constitue un élément culturel d’un pays. Il raconte entre autre son histoire. Il présente une multitude d’éléments de la vie quotidienne, dans les domaines de la science, de l’économie, de la culture, de la politique et des sports.

Les collectionneurs de timbres et de matériel philatélique sont des femmes et des hommes avides de connaissances, curieux et actifs. Ils vivent avec leur temps, l’ordinateur et internet sont devenus les outils d’aide indispensable à tous les philatélistes. Grâce à leur hobby ils élargissent rapidement leurs connaissances.

Le timbre-poste fut inventé non pas pour devenir un objet de collection, mais pour servir de quittance et prouver également le paiement d’une prestation postale payée par l’expéditeur, qui a réglé déjà à l’avance la taxe postale réglementaire en l’apposant sur l’envoi.

En 1879, Sir Rowland Hill réalise la Réforme postale qui bouleverse les régimes postaux européens. Il encourage le port payé par l’expéditeur au détriment du port jusqu’alors dû par le destinataire. En 1840, furent émis les premiers timbres-poste du monde : le fameux Penny black et le 2 pence bleu.

C’est le 1er mars 1843 qu’ont été émis en Suisse les premiers timbres-poste non dentelés sans illustration, portant uniquement les chiffres 4 et 6 ainsi que l’inscription ZURICH. Peu après c’est Genève, le 3 septembre de la même année qui édita le double de Genève au prix de 10 ct d’alors. Les Bâlois durent patienter jusqu’au 1er juillet 1845 avant que la gracieuse messagère ailée, la Colombe de Bâle, ne prenne son envol.

Tout au long des ans, des célébrités, des artistes, des inventeurs, des sportifs, des tableaux, des monuments, des sculptures, des bâtiments des paysages furent utilisés pour illustrer les timbres-poste. L’histoire, la géographie, l’art, la culture, la flore, la faune, les sports, les exploits, les grands événements, les anniversaires sont l’occasion de créer de nouveaux timbres et pour les philatélistes passionnés l’occasion d’enrichir leurs connaissances.

Depuis 1890, la Fédération des Sociétés Philatéliques Suisses est l'organisation faitière des sociétés philatéliques actives en Suisse. Ainsi depuis près de 125 ans, elle s'occupe de la promotion de la philatélie, accompagne les membres des sociétés en leur offrant: l’organisation d’expositions et la possibilité d’exposer en Suisse et dans le monde. Elle encourage la philatélie de la jeunesse, lutte contre les falsifications, assure l’information et les relations publiques et édite 9 fois l’an le Journal Philatélique suisse.

Die Briefmarke, das kleinste Kunstwerk der Welt

Die Briefmarke  ist klein; doch ihre Aussagekraft und ihre Wichtigkeit sind gross und vielfältig. Sie widerspiegelt die Kultur eines Landes. So erzählt sie dessen Geschichte. Sie vergegenwärtigt viel aus dem täglichen Leben, aus den Gebieten der Wissenschaft, Wirtschaft, Bildung, Politik und dem Sport.

Männer und Frauen, die Briefmarken sammeln, haben Wissensdurst, Neugier und Umsicht. Sie leben mit ihrer Zeit. Computer und Internet sind für sie eine unverzichtbare Hilfe geworden. Dank ihrem Steckenpferd gewinnen sie rasch neue Kenntnisse.

Die Briefmarke wurde nicht  zu Sammelzwecken erfunden, sondern diente als Zahlungsbeleg. Sie sollte bezeugen, dass der Absender die vorgeschriebene Gebühr bei der Aufgabe zum Voraus entrichtet habe.

Es war Sir Rowland Hill (1795–1879), durch den 1837 die Reform des englischen und europäischen Postwesens eintrat. Während bisher der Briefempfänger das Porto bezahlt hatte, tat es fortan der Versender. 1840 wurden die ersten Briefmarken der Welt eingeführt: die schwarze Penny als Quittung für leichte Briefe und die blaue 2 Pence-Marke. (Hill wurde Mitglied der Royal Society, geadelt und in der Westminsterabtei beigesetzt.)

Am 1. März 1843 wurden in der Schweiz die ersten Briefmarken ausgegeben. Sie waren ungezähnt, ohne Bild und trugen nur die Ziffern 4 und 6 sowie die Inschrift Zürich. Kurz darauf, am 3. September des gleichen Jahres, setzte Genf eine 10 Cent-Marke in Umlauf. Die Basler mussten bis zum 1. Juli 1845 warten. Dann aber kam die freudige Kunde, und das Basler Täubchen begann seinen Flug.

Im Lauf der Jahre haben Berühmtheiten, Künstler, Erfinder, Sportgrössen, Gemälde, Denkmäler, Skulpturen, Gebäude und Landschaften die Marken geschmückt. Geschichte, Geographie, Kunst, Kultur, Pflanzen- und Tierwelt, Sport, grosse Taten und Ereignisse, Gedenktage boten Gelegenheit, neue Marken zu schaffen, und die eifrigen Sammler konnten ihre Kenntnisse erweitern.

Seit 1890 ist der Verband Schweizerischer Philatelie-Vereine die Zentrale für die in der Schweiz tätigen entsprechenden Gesellschaften. Seit fast 125 Jahren beschäftigt der Verband sich mit der Förderung der Philatelie. Er begleitet die Mitglieder der Gesellschaften, indem er Ausstellungen veranstaltet und ihnen Gelegenheit gibt, ihre Sammlungen im In- und Ausland aufzulegen. Er ermutigt jugendliche Sammler, bekämpft Fälschungen, vermittelt Nachrichten und pflegt Kontakte. Neunmal jährlich gibt er eine Zeitschrift heraus. Sie heisst Schweizer Briefmarken Zeitung (SBZ) / Journal Philatélique Suisse (JPhS).

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Symbolforschung Schweizerische Gesellschaft für Symbolforschung

Bär, Fisch, Biber, Sphinx, Falke

Etwas Sinnenfälliges (im Beispiel: ein Tier) repräsentiert etwas schwer Verständliches, oft Abstraktes (z.B. eine Tugend) vermittelst einer Gemeinsamkeit. Die Brücke, die vom Materiellen zum damit Gemeinten führt, kann verschieden konstruiert sein. Und die Repräsentation kann verschiedene Leistungen erbringen.

Beim Bär des hl. Gallus ist die Brücke eine Erzählung in der Vita des Heiligen; der Bär ist ein Attribut, an dem man Gallus erkennt.

Beim Fisch ist die Brücke ist das Akrostichon IΧΘΥΣ (griech. ›Fisch‹) für: Jesus Christus, Theoú (Gottes) Hyiós (Sohn) Sōtér (Erlöser). Möglicherweise haben die verfolgten Christen in den ersten Jahrhunderten den Fisch als Erkennungszeichen (Badge) benutzt.

Beim Biber beruht die Brücke auf einem (vermeintlichen) Verhalten des Tiers, also natürlichen Eigenschaften, die dann willkürlich Element-für-Element auf das Bedeutete bezogen werden. Die Funktion ist hier eine Ermahnung zu tugendhaftem Leben.

Die Sphinx zeigt, dass das Verfahren auch mit Phantasiegestalten funktioniert; Allegorisierung funktioniert überhaupt immer. Umgekehrt wurden ›Fabeltiere‹ oft um der Bedeutung willen erfunden.

Beim Falken (im Beispiel aus dem Minnesang) wird Brücke nicht explizit ausgeführt; nur eine Andeutung weist darauf hin, dass der Falke ›symbolisch gemeint‹ ist. Der Interpret muss das Wissen für die Deutung selbst mitbringen.

L’ours, le poisson, le castor, le sphinx, le faucon

Une grandeur qui tombe sous le sens (dans notre exemple: un animal) représente une réalité difficile à saisir, souvent abstraite (un vice, par exemple) en vertu d’une certaine affinité ou d’une correspondance analogique. Les procédures qui permettent de passer du plan concret à celui du signifié sont multiples et variées. Par ailleurs, la représentation est susceptible de remplir différentes fonctions.

Dans le cas de l’ours de Saint Gall, c’est un récit de la vie du Saint qui fonde l’analogie; l’ours est un attribut qui facilite la reconnaissance de Gall.

Dans le cas du poisson, l’analogie s’explique par l’acrostiche IΧΘΥΣ (en grec: ›poisson‹) pour: Jésus Christ, Theoú (de Dieu) Hyiós (Fils) Sōtér (Sauveur). Il est possible que les Chrétiens persécutés aient employé le poisson comme un signe de ralliement.

Dans le cas du castor, la correspondance est construite à partir de certaines qualités naturelles ou de formes de comportement attribuées à cet animal et qui se trouvent mises en relation, élément par élément, avec le plan signifié. Ici, la représentation a pour but d’exhorter à une vie vertueuse.

Le sphinx montre que la procédure recourt aussi à des créatures fantastiques. De toute façon, l’allégorisation fonctionne toujours. Inversement, on invente des figures ou monstres fabuleux afin de signifier une idée abstraite.

Dans le cas du faucon (l’exemple du chant d’amour), la correspondance analogique n’est pas exprimée explicitement; une simple allusion permet de comprendre qu’il faut lire le faucon comme un symbole. C’est à l’interprète de mobiliser son savoir pour saisir le sens symbolique du faucon.

Der Direktor des Museums, Herr P. Kaiser, hat uns zwei zum Thema passende Exponate aus den Oltener Beständen zum Herzeigen bereitgestellt: Backsteine aus dem Bau des Zisterzienser-Klosters St. Urban (LU), wo Mitte 13. Jh. bis Anfang 14. Jh. Ziegelsteine mit figürlicher Dekoration (Holzmodeldruck) hergestellt wurden. Die Kirche wurde 1711 abgebrochen, und die Backsteine wurden damals als Baumaterial weit herum, so auch in der Stadtmauer von Olten verwendet, wo sie nach deren Abriss Ende 19. Jh. wieder zutage kamen. – Wir bedanken uns herzlich.

Backstein mit einem Pelikan

Die mittelalterliche Tiersymbolik sagt: Der Pelikan zeichnet sich durch grosse Liebe zu seinen Jungen aus. Wenn diese aber heranwachsen, so picken sie ihre Eltern ins Gesicht; aber diese hacken zurück und töten die dadurch. Dann aber erbarmen sie sich, und am dritten Tage kommt der Vater, öffnet seine Seite und lässt das Blut auf die toten Jungen träufeln, wodurch sie wieder lebendig werden. (So verwarf Gott die Menschheit nach dem Sündenfall und übergab sie dem Tode; aber er erbarmte sich ihrer, indem er sie durch seinen Kreuzestod mit seinem Blut zum ewigen Leben erweckte.)

Backstein mit einem Einhorn

Die mittelalterliche Tiersymbolik sagt vom Einhorn, dass es folgende Eigenheit habe: Ein kleines Lebewesen ist es, wie ein Böckchen, aber ausserordentlich leidenschaftlich. Nicht kann ein Jäger ihm nahekommen, weil es sehr stark ist. Ein einziges Horn hat es mitten auf seinem Kopf. Wie nun wird es gefangen? Eine reine Jungfrau, fein herausgeputzt, werfen sie vor es hin, und es springt in ihren Schoss; und die Jungfrau säugt das Lebewesen und bringt es in den Palast zum König. (So liess sich Gottes Sohn fangen von der Jungfrau Maria. Vgl. dazu Psalm 28, 6 [Vulgata]: »Er ist wie ein junges Einhorn«.)

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Genealogie Schweizerische Gesellschaft für Familienforschung (SGFF) 

Familienforschung, Ahnenforschung, Genealogie

Wenn wir schon nicht wissen, wohin wir gehen,
sollten wir doch herausfinden, woher wir kommen…

1. Ahnenforscher sind Jäger und Sammler – Fragen Sie! In der eignen Familie!

2. Wenn Du noch eine Tante hast – lass dir alte Fotoalben zeigen!

3. Wenn du noch einen Onkel hast, der bereits forscht – besuche ihn!

4. Der Heimatort – eine schweizerische Besonderheit

5. Ordnung ist das halbe Leben – schreib alles auf (auch Anekdoten, mit Quellenangaben), ob im Computer, in einem Zettelkasten oder in einem Ordner, spielt keine Rolle.

6. Erste Schwierigkeiten tauchen auf – Literatur, Vereine, Kurse, Webseiten

7. Gauner oder Seeräuber? – vom Umgang mit dunklen Geheimnissen

8. Stammbaum,  Stammtafel oder Ahnentafel – eine erste Übersicht der Familienbeziehungen

9. Ausblick: Unsere DNA – die Spur von Evas Tochter in uns

Généalogie, la recherche de ses ancêtres et de l'histoire familiale

Si nous ne savons pas où nous allons,
sachons d'où nous venons,
pour savoir où nous sommes.

1. Les généalogistes sont chasseurs et collectionneurs – Posez des questions ! En commençant par votre propre famille !

2. Si tu as encore une vieille tante – Demande-lui de te montrer ses albums de photos !

3. Si tu as encore un oncle qui a déjà fait des recherches – va lui rendre visite !

4. La commune d'origine – une spécifité suisse.

5. L'ordre simplifie la vie – note tout, dans ton ordinateur, sur des fiches ou dans un classeur, peu importe (mais note même les anecdotes, avec leur source).

6. Les premières difficultés surgissent – littérature, association, cours, Internet

7. Escroc ou pirate ? – traiter les secrets de famille

8. Arbre généalogique, d’ascendance ou de descendance – un permier aperçu des relations familiales

9. Perspectives : notre ADN – les traces des filles d'Eve en nous.

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Burgenkunde Schweizerischer Burgenverein (SBV)


Die Burg als Forschungsobjekt zahlreicher Fachbereiche

Die Burgenkunde ist im universitären Lehrgebäude kein eigenständiges Fach, sondern vereint zahlreiche geistes- und naturwissenschaftliche Methoden und Forschungsansätze unter dem Dach der Geschichtswissenschaft.

Militär-, rechts- und verfassungsgeschichtliche Untersuchungen über die Burgen setzten im 19. Jh. ein. Von der Kunstgeschichte und der Denkmalpflege eher vernachlässigt, fielen die Burgen lange Zeit vorwiegend in den Interessenbereich von Lokalforschern. Seit 1927 befasst sich der Schweiz. Burgenverein mit der Erhaltung und Erforschung der Burgen in der Schweiz. Bauforschung und archäologische Untersuchungen setzten sich aber allgemein erst nach 1950 durch.

In dieser kurzen Übersicht können wir nicht alle möglichen Aspekte berücksichtigen, da es ja bei einer Burg immer auch zwischen dem Bau an sich und dem Bauherrn und Bewohnern zu unterscheiden gilt.

Wir beschränken uns deshalb im Folgenden auf die Disziplinen, die sich mit dem Bauobjekt beschäftigen und deren Ergebnisse für die Familiengeschichte der Bewohner und für die allgemeine regionale Geschichte von Interesse sein können. Am Beispiel der Frohburg werden wir dies im Referat darstellen.

Le château-fort, objet de recherches dans de nombreux domaines

Dans le système d'études universitaires, l'étude des châteaux-forts ne constitue pas une discipline autonome. Elle rassemble diverses méthodes et démarches du domaine des sciences humaines et de la nature sous l'égide des sciences de l'histoire.

Des recherches sous l'angle de l'histoire militaire, juridique et constitutionnelle ont débuté au 19e siècle. Souvent négligés par les historiens de l'art et les conservateurs des monuments historiques, les châteaux-forts n'ont longtemps suscité un intérêt qu'auprès des historiens locaux. Depuis 1927, l'Association Suisse Châteaux-forts se préoccupe de la conservation et de l'étude des châteaux-forts de Suisse. Mais c'est seulement à partir de 1950 que des recherches archéologiques et architecturales ont été entreprises.

Dans ce bref aperçu, nous ne pourrons pas tenir compte de tous les aspects possibles, car il faut toujours distinguer entre la construction elle-même du château, le maître d'oeuvre et les habitants du château.

C'est pourquoi nous nous limiterons ici aux disciplines se rapportant à l'édifice en tant qu'objet d'étude et aux conséquences qui présentent un intérêt pour l'histoire des familles qui y ont habité et pour l'histoire régionale. L'exposé s'appuiera sur l'exemple du chateau-fort Frohburg.

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Heraldik Schweizerische Heraldische Gesellschaft

Was führen Sie im Schilde?

Zu erkennen, was Freund oder Feind im Schilde führen, war eine Fähigkeit, die im Mittelalter über Leben und Tod entscheiden konnte. Was jemand im Schilde führte, war damals also offensichtlich, man musste es nur deuten können. Erst später nahm diese bekannte Redensart allmählich ausschliesslich negative Züge an und hat heute mit der ursprünglichen Bedeutung nichts mehr gemeinsam.

Mit Schild und Lanze ist natürlich niemand mehr unterwegs. Die Wappen jedoch finden auch heute immer noch Verwendung.

Im Zentrum des Vortrags soll die Frage nach der Entstehung der Familienwappen stehen. Welche Primär- resp. Sekundärquellen helfen bei der Suche nach einem Familienwappen? Was sind usurpierte Wappen?
Ebenso sollen nach Möglichkeit noch ein paar Fragen bezüglich Wappensymbolik angesprochen werden, welche in Vorträgen immer wieder an den Referenten herangetragen werden. Was bedeuten die Sterne in einem Wappen? Was sind Mailänderli? Deutet der Dreiberg im Wappen auf Grundbesitz des Wappenträgers hin? etc.

Es erwartet Sie ein spannender Einblick in die farbigste aller historischen Hilfswissenschaften.

 

En allemand, la même expression – im Schilde führen – est utilisée pour désigner ce qu’une personne manigance ou alors ce qu’elle porte sur son bouclier. Au Moyen-Âge, savoir reconnaitre l'intention de son vis-à-vis, ami ou ennemi, pouvait être une question de vie ou de mort. L'apparence du bouclier, elle par-contre, était évidente, il suffisait de savoir l'interpréter. Ce n'est que plus tard que cette expression a peu à peu pris en allemand des traits exclusivement négatifs et aujourd'hui, il n'a plus grand chose de commun avec la signification qu'elle avait à l'origine.

Evidemment, aujourd'hui, plus personne ne se promène avec une lance et un bouclier. Mais pourtant, les armoiries ont encore leur utilité.

C’est la question de l'origine des armoiries familiales qui sera au centre de l'exposé. Quelles sont les premières sources et les sources secondaires qui peuvent nous aider à retrouver les armoiries familiales ? Qu’entend-on par armoiries usurpées ?

Selon les possibilités, on abordera également quelques questions fréquemment posées, relatives à la symbolique des armoiries. Que signifie une étoile sur un blason ? Qu'appelle-t-on les quartiers en héraldique ? Avoir une „montagne de trois coupeaux“ sur son blason signifie-t-il que le possesseur de ce blason était un propriétaire terrien ?


C'est une introduction passionnante à la plus colorée de toutes les sciences auxiliaires de l'histoire qui vous attend.

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Vexillologie Schweizerische Gesellschaft für Fahnen- und Flaggenkunde

Was ist Vexillologie?

An Stangen befestigte Stoffe oder andere Zeichen (z.B. Rossschweife, Tierschädel, etc.), Fahnen im weitesten Sinne also, waren bereits vor 5000 Jahren in China und Persien bekannt. Auch die römischen Legionen – vor über 2000 Jahren – führten Standarten, an deren Querstange ein rotes Tuch mit der goldenen Legionsziffer befestigt war. Diese römische Militärstandarte, das Vexillum, stellt die Urform der heutigen Fahnen dar. Der Fachausdruck Vexillologie leitet sich von diesen römischen Standarten ab und bezeichnet die Fahnen- und Flaggenkunde, eine Spezialwissenschaft der Geschichte.

Fahnen sind das wirksamste und mächtigste Symbol des Menschen überhaupt: Frei wehender farbiger Stoff zieht schon von weitem die Blicke an, identifiziert Personen und Gemeinschaften, vermittelt Botschaften und weckt Emotionen.

In Europa sind frühestens aus dem 9. und 10. Jahrhundert vereinzelt mehrzipfelige Kriegsfahnen, sog. Gonfanons, überliefert, so etwa bei den Normannen. Erst aber zur Zeit der Kreuzzüge im frühen 12. Jahrhundert setzte sich die militärische Notwendigkeit durch, die Identität des einzelnen Kriegers zu kennzeichnen, denn im Schlachtgetümmel behinderten die Rüstungen und Helme das Erkennen von Freund und Feind. So wurden auf die Schilde farbige Zeichen gemalt, Wappen entwickelten sich, und an den Lanzen befestigte man Stoffe, oft mit demselben Bild wie auf dem Schild. Ein in die Höhe gehaltenes, wehendes Symbol war weitherum sichtbar und erleichterte daher die Identifikation seines Trägers bereits ausser Reichweite der Waffen.

Der reich bebilderte Vortrag soll den Zuhörern die spannende Geschichte und Entwicklung der Fahnen und Flaggen, speziell auch in der Schweiz, als Spiegelbild unserer eigenen Geschichte und Kultur vermitteln.

Die schweizerische Gesellschaft für Fahnen- und Flaggenkunde ist ein neutraler Verein von Personen und öffentlichen Institutionen, die sich der Erforschung, Deutung und Bewahrung von Fahnen und Flaggen jeglicher Art aus aller Welt widmen, im Besonderen jedoch den Fahnen in der Schweiz. Der Verein steht allen Interessierten offen. Unsere Gesellschaft publiziert den zweisprachigen Jahresband Vexilla Helvetica, der die Resultate unserer Forschung und Aktivitäten reflektiert.

Qu’est-ce qu c’est la Vexillologie ?

Il y a 5000 ans, des étoffes et autres symboles (queues de cheval, crânes d'animaux, etc.) fixés à des perches, autrement dit des drapeaux au sens très large du terme, étaient déjà utilisés en Chine et en Perse. Les légions romaines aussi, il y a de cela plus de 2000 ans, portaient des étendards, auxquels un tissu rouge portant le numéro de la légion en chiffres d'or était fixé à la barre transversale. Cet étendard militaire romain, le vexillum, est le précurseur des drapeaux modernes. Le terme technique de vexillologie dérive du nom de ces étendards romains et désigne l'étude des drapeaux et des pavillons, une science spéciale de l'histoire.

Le mot « drapeau » vient de « drap » et désigne une pièce d'étoffe, le plus souvent colorée, attachée à une hampe par un de ses bords. Les drapeaux sont le symbole le plus effectif et le plus puissant de l’homme : une étoffe colorée flottant au vent attire la vue depuis loin, identifie des personnes, des communautés, transporte des messages et éveille les émotions. En Europe, les plus anciennes bannières de guerre, des gonfanons se terminant à plusieurs pointes, remontent aux 9e et 10e siècles, par exemple chez les Normands. Ce n'est qu'à l'époque des Croisades, au début du 12e siècle, que s'imposa la nécessité militaire d'identifier individuellement les guerriers, car dans la mêlée des batailles, les armures et les heaumes empêchaient de distinguer l'ami de l'ennemi. C'est ainsi que l'on se mit à peindre des signes en couleur sur les boucliers (l’héraldique en suivit) et aux lances on attacha des étoffes portant la même image que sur le bouclier. Un symbole flottant bien au-dessus des têtes était visible de loin déjà et facilitait l'identification de son porteur avant même qu'il arrive à portée des armes.

L’exposé richement illustré a pour but de transmettre aux auditeurs l’histoire fascinante et le développement des drapeaux et des pavillons, spécialement en Suisse, en tant que réflexion de notre propre histoire et culture.

La Société Suisse de Vexillologie est une association neutre de personnes et d’institutions publiques, qui se consacrent à l’étude, l’interprétation et la conservation des drapeaux de n’importe quel genre de partout le monde, mais principalement en Suisse. La Société reste ouverte à toute personne intéressée. Notre société publie l’annuaire bilingue Vexilla Helvetica, qui reflète les résultats de nos recherches et activités.

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Kalligraphie —  Schweizerische Kalligraphische Gesellschaft

Demonstrationen von Kurt Hoffmann, Oberflachs